Toi, membre actif·ve de la communauté BIZES, je t’invite à prendre part à une aventure unique : la création de notre charte. Ce n’est pas juste rédiger un document, mais c’est l’occasion de tisser ensemble nos valeurs, expériences et rêves en une charte vivante qui reflète l’essence de notre communauté.
1. Pourquoi la Charte est Cruciale pour BIZES :
La charte, ce n’est pas juste des règles ou des principes abstraits; c’est le miroir de notre identité collective. En y contribuant, tu apportes ta touche personnelle à l’édifice de notre communauté, affirmant ton engagement pour des relations interpersonnelles saines, respectueuses et équitables.
2. S’Inspirer de la Déclaration Universelle des Droits des Relations Interpersonnelles (voir plus bas):
Cette déclaration, qui valorise une relation interpersonnelle saine et équitable, le respect des limites et la communication constructive, est notre guide pour créer notre charte. Elle nous rappelle combien la dignité, la transparence et l’équité sont fondamentales dans nos interactions.
3. Ta Voix Compte:
Ta participation est essentielle. Chaque idée, opinion ou suggestion enrichit la diversité et la richesse de notre charte. En partageant tes expériences et points de vue, tu contribues à forger un document qui représente vraiment toute notre communauté.
4. La Charte, Fondement de Notre Futur Commun:
En élaborant cette charte, nous jetons les bases de l’avenir de BIZES. Ce document sera notre boussole, guidant nos actions et décisions, pour que notre communauté reste fidèle à ses principes tout en s’adaptant aux futurs défis.
5. Comment Participer au Processus:
Participer est facile. Tu peux envoyer tes idées via notre plateforme en ligne, rejoindre des ateliers de brainstorming, ou discuter directement avec d’autres membres de la communauté. Chaque contribution, grande ou petite, compte énormément.
La charte de BIZES, c’est bien plus qu’un document; c’est le reflet de qui nous sommes. En y contribuant, tu affirmes non seulement ton appartenance à BIZES, mais tu aides aussi à modeler un avenir où chaque membre se sent valorisé·e, respecté·e et entendu·e. Ensemble, créons une charte qui célèbre notre unité dans la diversité et notre engagement envers des relations interpersonnelles enrichissantes et respectueuses.
Je t’invite à te joindre à ce mouvement collaboratif. Ta voix est cruciale pour créer une charte à notre image. Participe, partage, et aidons-nous mutuellement à faire de BIZES un modèle de communauté forte, unie et respectueuse.
Déclaration Universelle des Droits des Relations Interpersonnelles
S’unir pour des relations interpersonnelles saines, respectueuses et équitables
Préambule
Considérant que chaque individu est doté d’une dignité et de droits fondamentaux inaliénables, qui doivent être respectés dans toutes les relations interpersonnelles,
Considérant que les relations interpersonnelles ont une incidence directe sur la qualité de vie, l’épanouissement personnel et professionnel, ainsi que le bien-être psychologique et physique de chaque individu,
Considérant que toutes les formes de violence, de discrimination, d’intimidation et de harcèlement dans les relations interpersonnelles sont incompatibles avec la dignité humaine et les droits fondamentaux,
Considérant que les relations interpersonnelles sont essentielles au bien-être de chaque individu et à la prospérité de la société dans son ensemble,
Considérant que chaque personne a le droit fondamental de vivre dans un environnement relationnel sain, respectueux et équitable,
Considérant que les relations interpersonnelles doivent être fondées sur le respect mutuel, la dignité, l’honnêteté, l’intégrité et la confiance,
Considérant que chaque personne a le droit de définir et de maintenir des limites personnelles, qui doivent être respectées par les autres membres de la relation,
Considérant que chaque personne a le droit de s’exprimer librement et d’être entendue sans crainte de représailles ou de jugement,
Considérant que chaque personne a le droit d’être traitée avec équité, sans discrimination fondée sur la race, l’ethnie, la religion, le genre, l’orientation sexuelle, l’âge, le handicap ou tout autre critère,
Considérant que chaque personne a le droit de mettre fin à une relation interpersonnelle lorsque celle-ci est toxique ou abusive,
Nous, signataires, établissons cette Déclaration Universelle des Droits des Relations Interpersonnelles, afin de garantir à chaque individu le respect de ses droits et de sa dignité dans toutes les relations interpersonnelles.
Cette Déclaration reconnaît le droit fondamental de chaque personne à une relation interpersonnelle saine, respectueuse et équitable, quel que soit son sexe, son orientation sexuelle, son identité de genre, sa religion, sa race, son origine ethnique, son statut social, son âge ou tout autre critère.
Elle reconnaît également le droit de chaque individu à définir et à maintenir ses propres limites personnelles dans les relations interpersonnelles, ainsi que le droit de s’exprimer librement et d’être entendu sans crainte de représailles ou de jugement.
Cette Déclaration garantit également le droit de chaque individu à être traité avec équité, sans discrimination fondée sur la race, l’ethnie, la religion, le genre, l’orientation sexuelle, l’âge, le handicap ou tout autre critère, ainsi que le droit de mettre fin à une relation interpersonnelle lorsque celle-ci est toxique ou abusive.
Elle reconnaît également le droit au respect de l’autonomie de chacun dans les relations interpersonnelles, ainsi que le droit à la transparence et à l’honnêteté dans ces relations.
En outre, cette Déclaration garantit le droit à la confidentialité dans les relations interpersonnelles, ainsi que le droit à la communication constructive et respectueuse. Elle reconnaît également le droit à la résolution de conflits pacifique dans ces relations.
Le respect de cette Déclaration est essentiel pour favoriser un environnement de travail et de vie sain et équilibré, où chacun peut s’épanouir et contribuer pleinement à la société.
Ainsi, nous, signataires, proclamons les droits suivants aux relations interpersonnelles :
1. Le droit à une relation interpersonnelle saine, respectueuse et équitable.
2. Le droit de définir et de maintenir des limites personnelles, qui doivent être respectées par les autres membres de la relation.
3. Le droit de s’exprimer librement et d’être entendu sans crainte de représailles ou de jugement.
4. Le droit d’être traité avec équité, sans discrimination fondée sur la race, l’ethnie, la religion, le genre, l’orientation sexuelle, l’âge, le handicap ou tout autre critère.
5. Le droit de mettre fin à une relation interpersonnelle lorsque celle-ci est toxique ou abusive.
6. Le droit au respect de l’autonomie de chacun dans les relations interpersonnelles.
7. Le droit à la transparence et à l’honnêteté dans les relations interpersonnelles.
8. Le droit à la confidentialité dans les relations interpersonnelles.
9. Le droit à la communication constructive dans les relations interpersonnelles.
10. Le droit à la résolution de conflits pacifique dans les relations interpersonnelles.
Nous appelons toutes les personnes à respecter ces droits et à travailler ensemble pour créer un environnement relationnel sain et respectueux pour tous.
Article 1 : Le droit à une relation interpersonnelle saine, respectueuse et équitable
Chacun.e a le droit fondamental d’entretenir des relations interpersonnelles saines, respectueuses et équitables, quels que soient son sexe, son orientation sexuelle, son identité de genre, sa religion, sa race, son origine ethnique, son statut social, son âge ou tout autre critère. Les relations interpersonnelles sont essentielles à la vie et à l’épanouissement personnel et professionnel de chaque individu.e, et leur qualité a une incidence directe sur le bien-être psychologique et physique des personnes.
Ce droit inclut le respect mutuel, la reconnaissance de l’autonomie et de la dignité de chaque personne, ainsi que la garantie d’une communication ouverte, constructive et respectueuse. Il implique également la prévention et la lutte contre toute forme de violence, de discrimination, d’intimidation ou de harcèlement dans les relations interpersonnelles.
En outre, ce droit s’étend également aux relations professionnelles, où les individu.e.s ont le droit d’entretenir des relations saines et respectueuses avec leurs collègues, leurs supérieur.e.s hiérarchiques, leurs client.e.s ou leurs partenaires commerciaux.
Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser un environnement de travail et de vie sain et équilibré, où chacun.e peut s’épanouir et contribuer pleinement à la société.
Article 2 : Le droit au respect de tes limites personnelles dans les relations interpersonnelles
Toute personne a le droit fondamental de définir et de maintenir ses propres limites personnelles dans les relations interpersonnelles, quels que soient son sexe, son orientation sexuelle, son identité de genre, sa religion, sa race, son origine ethnique, son statut social, son âge ou tout autre critère. Les limites personnelles doivent être respectées par tous les membres de la relation, y compris les ami·e·s, la famille, les partenaires romantiques et les collègues.
Le droit de définir ses propres limites personnelles implique également le droit de les communiquer clairement et efficacement aux autres membres de la relation. Tout individu a le droit de refuser une demande qui ne respecte pas ses limites, sans avoir à se justifier ou à subir des représailles.
En outre, ce droit inclut également le droit de modifier ses limites personnelles à tout moment, en fonction de ses besoins, de ses préférences ou de ses circonstances personnelles. Tout individu a le droit de se sentir en sécurité et à l’aise dans les relations interpersonnelles, sans être soumis·e à la pression ou à l’influence des autres membres de la relation.
Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles saines, respectueuses et équitables, où chaque individu peut se sentir valorisé·e et respecté·e dans ses choix et ses décisions.
Article 3 : Le droit de s’exprimer librement et d’être entendu sans crainte de représailles ou de jugement.
Chaque personne a le droit fondamental de s’exprimer librement dans les relations interpersonnelles, sans crainte de jugement, de représailles ou de toute autre forme de punition. Cela inclut la possibilité de partager des idées, des opinions, des sentiments et des préférences de manière ouverte et respectueuse, en utilisant la communication non-violente.
En outre, chaque individu a le droit d’être entendu et écouté avec attention et bienveillance par les autres membres de la relation, qu’il s’agisse de la famille, des amis, des collègues ou des partenaires romantiques. Ce droit implique également le droit d’exprimer des désaccords ou des opinions divergentes sans craindre des conséquences négatives, en utilisant également la communication non-violente.
Ce droit s’étend également à la possibilité d’avoir un accès égal à l’information et aux ressources dans les relations interpersonnelles, avec une communication honnête et transparente. Chaque individu a le droit de recevoir des informations complètes et précises, ainsi que le droit d’avoir accès aux ressources nécessaires pour prendre des décisions éclairées dans les relations interpersonnelles.
Le respect de ce droit est essentiel pour créer des relations interpersonnelles équitables, respectueuses et constructives, où chaque personne a la liberté d’exprimer ses idées et ses opinions sans crainte de représailles ou de jugement, en utilisant la communication non-violente, et où chaque individu a un accès égal à l’information et aux ressources nécessaires pour prendre des décisions éclairées.
Article 4 : Le droit d’être traité avec équité, sans discrimination fondée sur la race, l’ethnie, la religion, le genre, l’orientation sexuelle, l’âge, le handicap ou tout autre critère.
Toute personne a le droit fondamental d’être traitée avec équité dans les relations interpersonnelles, sans discrimination fondée sur le sexe, l’orientation sexuelle, l’identité de genre, la race, l’origine ethnique, la religion, l’âge, le handicap ou tout autre critère. Les relations interpersonnelles doivent être fondées sur le respect mutuel, la dignité et l’égalité entre tous les individus.
Le droit d’être traité avec équité implique également le droit de ne pas être soumis à des préjugés, à des stéréotypes ou à des discriminations injustes dans les relations interpersonnelles. Tout individu a le droit de se sentir en sécurité et respecté dans ses relations, sans être jugé ou discriminé en raison de son identité ou de ses choix personnels.
En outre, ce droit inclut également le droit de recevoir une éducation et des informations sur les questions de discrimination et d’inégalité, afin de sensibiliser les individus à l’importance de l’égalité et de la justice dans les relations interpersonnelles.
Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles équitables et respectueuses, où chaque individu peut se sentir valorisé et respecté dans son unicité et sa diversité.
Article 5 : Le droit de mettre fin à une relation interpersonnelle lorsque celle-ci est toxique ou abusive.
Toute personne a le droit de mettre fin à une relation interpersonnelle lorsque celle-ci est toxique ou abusive, quels que soient son sexe, son orientation sexuelle, son identité de genre, sa religion, sa race, son origine ethnique, son statut social, son âge ou tout autre critère. Cela peut inclure des relations avec des amis, des membres de la famille, des partenaires romantiques, des collègues ou tout autre individu.
Le droit de mettre fin à une relation interpersonnelle implique également le droit de protéger sa propre santé mentale et physique. Tout individu a le droit de se retirer d’une relation qui nuit à sa propre sécurité ou à son bien-être, sans être blâmé ou jugé pour sa décision.
Il est important de noter que ce droit ne doit pas être confondu avec le droit de mettre fin à une relation simplement parce qu’elle est difficile ou inconfortable. Le respect mutuel et la communication constructive sont essentiels pour maintenir des relations saines et équitables. Toutefois, lorsque la relation devient toxique ou abusive, il est important de se rappeler que chaque individu a le droit de mettre fin à la relation.
Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles saines, respectueuses et équitables, où chaque individu peut se sentir en sécurité et valorisé dans ses choix et ses décisions.
Article 6 : Le droit au respect de l’autonomie de chacun dans les relations interpersonnelles.
Toute personne a le droit fondamental de prendre ses propres décisions et de choisir ses propres voies dans les relations interpersonnelles, quels que soient son sexe, son orientation sexuelle, son identité de genre, sa religion, sa race, son origine ethnique, son statut social, son âge ou tout autre critère. Ce droit implique que chaque individu ait la liberté de vivre selon ses propres valeurs, de prendre ses propres décisions et de poursuivre ses propres objectifs, sans être soumis à la pression ou au contrôle des autres.
Toute forme d’abus ou de manipulation est interdite, y compris la pression psychologique, le chantage, la coercition ou toute autre forme de contrôle sur la vie d’autrui. Les membres de la relation doivent respecter les choix et les décisions de chaque individu, même s’ils ne sont pas en accord avec eux.
En outre, ce droit implique également le respect de l’autonomie physique de chaque individu, y compris le droit de refuser toute forme de contact physique non désiré ou de traitement médical. Les membres de la relation doivent respecter les limites personnelles de chacun, sans chercher à les violer ou à les dépasser.
Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles saines, respectueuses et équitables, où chaque individu peut se sentir en sécurité et à l’aise pour être lui-même et poursuivre ses propres objectifs.
Article 7 : Droit à la transparence et à l’honnêteté dans les relations interpersonnelles
Chaque personne a le droit de connaître les intentions, les actions et les émotions des autres membres de la relation interpersonnelle, sans crainte de tromperie ou de dissimulation. La transparence et l’honnêteté sont des valeurs clés dans toute relation interpersonnelle saine et respectueuse.
Ce droit inclut également la garantie de recevoir des informations claires et précises sur les questions importantes, telles que les engagements, les responsabilités et les attentes dans la relation. Tout individu a le droit de prendre des décisions éclairées et informées dans les relations interpersonnelles, en se basant sur des informations fiables et honnêtes.
En outre, ce droit implique également la responsabilité de communiquer de manière transparente et honnête avec les autres membres de la relation. Tout individu a la responsabilité de dire la vérité et d’être transparent sur ses intentions, ses actions et ses émotions, sans tromper ou manipuler les autres membres de la relation.
Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles saines, équitables et respectueuses, où chacun peut faire confiance et se sentir en sécurité.
Article 8 : Le droit à la confidentialité dans les relations interpersonnelles.
Chaque personne a le droit fondamental à la confidentialité dans les relations interpersonnelles, quels que soient son sexe, son orientation sexuelle, son identité de genre, sa religion, sa race, son origine ethnique, son statut social, son âge ou tout autre critère. Le droit à la confidentialité inclut la protection de ses informations personnelles, de ses choix de vie privée et de ses opinions personnelles.
Tout individu a le droit de choisir les informations qu’il souhaite partager avec les autres membres de la relation, ainsi que le droit de garder certaines informations confidentielles. Les autres membres de la relation doivent respecter cette décision et ne doivent pas divulguer ou utiliser ces informations à des fins inappropriées.
En outre, ce droit à la confidentialité s’étend également aux relations professionnelles, où les individus ont le droit de protéger leur vie privée et leurs informations personnelles dans un contexte professionnel. Les employeurs doivent garantir la protection de la vie privée et des informations personnelles de leurs employés.
Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles saines, respectueuses et équitables, où chaque individu peut se sentir en sécurité et protégé dans ses choix de vie privée et ses opinions personnelles.
Article 9 : Le droit à la communication constructive dans les relations interpersonnelles.
Toute personne a le droit à une communication constructive et respectueuse dans les relations interpersonnelles, sans discrimination fondée sur le sexe, l’orientation sexuelle, l’identité de genre, la religion, la race, l’origine ethnique, le statut social, l’âge ou tout autre critère. Ce droit inclut la garantie d’une écoute active, d’un échange ouvert et honnête, ainsi que la prise en compte des besoins, des sentiments et des opinions de chaque individu.
La communication constructive implique également la résolution pacifique des conflits, en évitant tout recours à la violence, la discrimination, l’intimidation ou le harcèlement. Les membres de la relation ont également le devoir de fournir des commentaires constructifs et des critiques constructives, afin d’aider l’autre à grandir et à s’améliorer.
En outre, ce droit s’étend également aux relations professionnelles, où les individus ont le droit de communiquer de manière constructive et respectueuse avec leurs collègues, leurs supérieurs hiérarchiques, leurs clients ou leurs partenaires commerciaux. Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles saines et équitables, où chacun peut se sentir valorisé et entendu.
Article 10 : Le droit à la résolution de conflits pacifique dans les relations interpersonnelles.
Toute personne a le droit de bénéficier d’un processus de résolution de conflits juste, équitable et pacifique dans les relations interpersonnelles, sans recourir à la violence, la discrimination ou l’intimidation. Ce droit implique également la prévention des conflits par une communication ouverte et constructive, ainsi que la recherche de solutions durables et satisfaisantes pour toutes les parties impliquées.
Les individus ont le droit d’exprimer leurs opinions et leurs préférences de manière respectueuse et de négocier des compromis pour résoudre les conflits de manière constructive. Ce droit implique également la reconnaissance et la compréhension des différences culturelles et individuelles dans la résolution de conflits, ainsi que la non-stigmatisation des personnes qui cherchent de l’aide pour résoudre des conflits interpersonnels.
Le respect de ce droit est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles saines et équitables, où chaque individu peut exprimer ses besoins et ses opinions de manière respectueuse et trouver des solutions durables pour résoudre les conflits.
Conclusion :
Tout individu a le droit fondamental d’entretenir des relations interpersonnelles saines, respectueuses et équitables, quels que soient son genre, son orientation sexuelle, son identité de genre, sa religion, sa race, son origine ethnique, son statut social, son âge ou tout autre critère. La Déclaration Universelle des Droits aux Relations Interpersonnelles énonce les 10 droits qui protègent chacun dans ses relations interpersonnelles, qu’elles soient familiales, amicales, romantiques, professionnelles ou autres.
Ces droits incluent le droit à une relation interpersonnelle saine, respectueuse et équitable, le droit de définir et de maintenir ses propres limites personnelles, le droit de s’exprimer librement et d’être entendu sans crainte de représailles ou de jugement, le droit d’être traité avec équité, sans discrimination, le droit de mettre fin à une relation interpersonnelle lorsque celle-ci est toxique ou abusive, le droit au respect de l’autonomie de chacun, le droit à la transparence et à l’honnêteté, le droit à la confidentialité, le droit à la communication constructive et respectueuse et enfin, le droit à la résolution de conflits pacifique.
Le respect de ces droits est essentiel pour favoriser des relations interpersonnelles saines et épanouissantes, où chacun peut s’exprimer librement, être entendu et respecté dans ses choix et ses décisions. Il est crucial de promouvoir une culture de respect et de tolérance, de prévention de la violence, de la discrimination, de l’intimidation et du harcèlement dans les relations interpersonnelles, et de soutenir les personnes qui sont victimes de ces comportements.
En respectant les droits énoncés dans cette déclaration, nous pouvons créer un environnement de travail et de vie sain et équilibré, où chacun peut s’épanouir et contribuer pleinement à la société.